L’Université de tous les savoirs
en partenariat avec La Saison de la Turquie en France
présente un cycle de 10 conférences sur
« La Turquie, aujourd’hui, demain »
du 9 au 18 octobre 2009
A travers un cycle de 10 conférences en octobre inscrites dans la Saison de la
Turquie en France, L’Université de tous les savoirs fait le pari de demander aux
meilleurs spécialistes turcs d’éclairer nombre de sujets dont le public français entend parler de façon souvent partiale ou superficielle : les rapports de la Turquie avec l’Union européenne, sa politique étrangère, la question chypriote, son économie en pleine mutation, le parti musulman-démocrate Justice et Développement qui la
gouverne aujourd’hui, la place des femmes, plus moderne qu’on ne le croit souvent,
les différents islams dans un état laïc où 99% de la population se dit musulmane, sa
conception et son application des droits de l’Homme…
Autant de thèmes majeurs qui permettront de montrer un autre visage, méconnu,
de la Turquie : celui d’une nation d’une immense richesse culturelle et patrimoniale,
qui traverse de profondes mutations politiques, économiques, sociales et se tourne
résolument vers un avenir axé sur la modernité.
Toutes les conférences seront enregistrées et consultables sur le site www.utls.fr.
Extrait du communiqué de presse de l'UTLS sur "La Turquie, aujourd'hui et demain".
mercredi 30 septembre 2009
La fête de la figue
Dans la semaine Guillemette avait repéré une affiche parlant d'une fête de la figue à Ovaakça. Fan de figues, elle a réussi à trouver où c'était et nous nous y sommes rendus avec eux dimanche après-midi. En arrivant en fin d'après-midi il n'y avait plus beaucoup de figues à acheter, mais l'ambiance "fête de village" populaire nous a beaucoup plu. Et nous avons réussi à trouver des places pour admirer les magnifiques costumes des danseurs et la chorégraphie particulière de ces danses traditionnelles. Beau spectacle. Quelques extraits en images dans les photos ci-dessous.
Les danses traditionnelles turques ne sont pas qu'un simple folklore.
Eglantine s'éclate sur le manège.
Attention, regardez bien ! Le manège n'a pas de moteur. C'est le grand monsieur au milieu qui le fait tourner à la force des bras !
Le marchand de Gözleme, ces espèces de crêpes fourrées au fromage ou à la pomme de terre.
Sinon, un petit morceau d'agneau pour la route ?
Les danses traditionnelles turques ne sont pas qu'un simple folklore.
Eglantine s'éclate sur le manège.
Attention, regardez bien ! Le manège n'a pas de moteur. C'est le grand monsieur au milieu qui le fait tourner à la force des bras !
Le marchand de Gözleme, ces espèces de crêpes fourrées au fromage ou à la pomme de terre.
Sinon, un petit morceau d'agneau pour la route ?
Gourmandises
De gourmandises nous ne manquons pas en Turquie. Mais avouons que nous avons un plaisir particulier à nous régaler de ces petites choses qu’Olivier peut nous ramener de France. Et que serait une gourmandise solitaire ? Alors profitant de l’occasion de passer encore un moment avec eux, nous avons invité samedi soir Guillemette et Jean-Eudes à partager un bon dîner garni de spécialités bien françaises. Olivier avait pensé à chacun d’entre nous. Le saucisson est le péché mignon de Guillemette, pour moi c’est le foie gras, et Olivier savoure plus particulièrement le fromage, parmi lesquels Jean-Eudes a un penchant notable pour le Livarot. Du vieux Pineau avec le foie gras, un bon rouge sur le reste du repas, et cette soirée fût un délice !
Petit saut à Iznik
Allez, je n’ai rien écrit depuis longtemps, trop occupée, le ventre qui tire un peu, les insomines qui me fatiguent, mais ce n’est pas faute de n’avoir rien fait, rien vu.
Vendredi dernier, comme Olivier était absent, Guillemette et moi avons profité qu’il ait laissé sa voiture pour passer une matinée à Iznik (plus connue dans le monde chrétien sous le nom de Nicée). Citée fondée par les Grecs, reprises par les romains, un temps capitale de l’empire Ottoman, elle surtout connue aujourd’hui pour ses céramiques qui notamment ornent royalement le palais de Topkapi. Se rendre à Iznik c’est prendre une petite route coincée entre les champs d’Olivier et un lac immense pour arriver dans une petite ville provinciale où les rues sont principalement peuplée d’hommes et d’écoliers. Les anciennes murailles impressionnent à al porte d’Istanbul, le vieux haman séduit par son architecture à la fois sombre et grandiose (faut voir la hauteur sous plafond) et le musée, proche du capharnaüm, nous rappelle que la région est habitée depuis la préhistoire (des amphores funéraires avec leurs squelettes dantant d’environ 5000 avant J.C.).
Mais avouons-le, notre visite en cette petite ville tranquille était largement motivée par les céramiques. Le bleu et le corail dominent cet art depuis des siècles, et on trouve y trouve ces merveilles à des prix vraiment intéressants. Guillemette avait de petits cadeaux à faire et elle a trouvé son bonheur dans une des nombreuses échoppes minuscules qui jalonnent le centre ville. Bracelets, colliers et autres ont attirés son attention par leur originalité et leurs tous petits prix.
Vient alors le deuxième effet Kiss Kool. La légendaire amabilité des Turcs ! Les colliers exposés ne correspondaient pas à ce qu’elle voulait ? Qu’à cela ne tienne, ils en ont monté d’autres, lui faisant choisir les liens et les fermoirs . La boucle de ceinture est magnifique mais la ceinture trop grande. Un vendeur court chez le cordonnier le plus proche pour arranger la longueur. En attendant, on nous offre du thé, nous faisons connaissance avec toute la famille, et lorsque l’heure de prendre un petit encas arrive, tout le monde nous propose de partager la nourriture. Au moment de partir, la famille offre pour Microbelle un bracelet Mavi Buncuk en céramique. Cet ensemble de cercles typiquement turc protège du mauvais œil.
Vendredi dernier, comme Olivier était absent, Guillemette et moi avons profité qu’il ait laissé sa voiture pour passer une matinée à Iznik (plus connue dans le monde chrétien sous le nom de Nicée). Citée fondée par les Grecs, reprises par les romains, un temps capitale de l’empire Ottoman, elle surtout connue aujourd’hui pour ses céramiques qui notamment ornent royalement le palais de Topkapi. Se rendre à Iznik c’est prendre une petite route coincée entre les champs d’Olivier et un lac immense pour arriver dans une petite ville provinciale où les rues sont principalement peuplée d’hommes et d’écoliers. Les anciennes murailles impressionnent à al porte d’Istanbul, le vieux haman séduit par son architecture à la fois sombre et grandiose (faut voir la hauteur sous plafond) et le musée, proche du capharnaüm, nous rappelle que la région est habitée depuis la préhistoire (des amphores funéraires avec leurs squelettes dantant d’environ 5000 avant J.C.).
Mais avouons-le, notre visite en cette petite ville tranquille était largement motivée par les céramiques. Le bleu et le corail dominent cet art depuis des siècles, et on trouve y trouve ces merveilles à des prix vraiment intéressants. Guillemette avait de petits cadeaux à faire et elle a trouvé son bonheur dans une des nombreuses échoppes minuscules qui jalonnent le centre ville. Bracelets, colliers et autres ont attirés son attention par leur originalité et leurs tous petits prix.
Vient alors le deuxième effet Kiss Kool. La légendaire amabilité des Turcs ! Les colliers exposés ne correspondaient pas à ce qu’elle voulait ? Qu’à cela ne tienne, ils en ont monté d’autres, lui faisant choisir les liens et les fermoirs . La boucle de ceinture est magnifique mais la ceinture trop grande. Un vendeur court chez le cordonnier le plus proche pour arranger la longueur. En attendant, on nous offre du thé, nous faisons connaissance avec toute la famille, et lorsque l’heure de prendre un petit encas arrive, tout le monde nous propose de partager la nourriture. Au moment de partir, la famille offre pour Microbelle un bracelet Mavi Buncuk en céramique. Cet ensemble de cercles typiquement turc protège du mauvais œil.
jeudi 24 septembre 2009
Les cheveux de Microbelle
Lors de l'échographie mensuelle, le médecin nous a montré que l'on pouvait voir que Microbelle a déjà des cheveux sur la tête ! Mais pas de photo aujourd'hui car elle n'était pas dans une bonne position pour faire un joli cliché.
Brrrrrrrrrrr
12°, c'est la température qu'affichait la voiture ce matin quand j'ai amené Eglantine à l'école. Heureusement le thermomètre continue de monter au-delà des 25° pendant la journée. Comment ça c'est l'automne ? De toute façon je trouve qu'il arrive toujours trop tôt !
mercredi 23 septembre 2009
Super vacances éclair
Antalya, le soleil, la plage, la mer à 25°, le golf pour Olivier, des animations extra pour Eglantine, les Biélorusses pour Driss, des Belges super sympa rencontrés à l'ombre des parasols pour nous. Ces quelques jours sont passés trop vite !
A la plage avec Ihlan dont le papa est turc, et la maman belge. Cette famille m'a permis de passer un encore meilleur séjour. Merci encore !
Avec les clowns avant le Mini-Disco !
A la plage avec Ihlan dont le papa est turc, et la maman belge. Cette famille m'a permis de passer un encore meilleur séjour. Merci encore !
Avec les clowns avant le Mini-Disco !
vendredi 18 septembre 2009
Iyi bayramlar !
Et voilà, nous mettons tout dans la voiture et c'est parti pour Antalya : golf et plage pendant quatre jours. Ca va faire du bien ! :-)
jeudi 17 septembre 2009
Derviches tourneurs
Quel plaisir renouvelé à chaque cérémonie des derviches tourneurs à laquelle je peux assister ! Nous sommes parties entre filles avec Guillemette, laissant les enfants, avec leurs rhumes et leurs cauchemars, à leurs papas. A 20h30, en plein repas du soir un mois de Ramadan, les voitures se serrent devant les restaurants, et dans le centre ville la circulation est intense, ajoutant les lumières des phares à celles des boutiques qui restent ouvertes tard et des guirlandes électriques participant à la fête de ce mois saint. L'animation nocturne bat son plein.
Dans le dédales des rues du haut de Heykel (ça signifie la statue, c'est le quartier qui se trouve autour de l'incontournable statue d'Atatürk), nous trouvons sans problème le centre culturel qui accueille tous les soirs la cérémonie des derviches tourneurs. Avant d'entrer dans la salle au plafond peint d'arabesques et de calligraphie, nous profitons de l'hospitalité du lieu et buvons un thé dans la cour au milieu des autres femmes attablées pour discuter. A l'intérieur, quelques femmes font leur prière. Effectivement, nous avons entendu le muezzin en sortant de la voiture.
Lorsque, après avoir retiré nos chaussures, nous rejoignons à notre tour l'étage des femmes (les hommes restent en bas), une jeune fille nous fait de la place afin que nous soyons plein placées pour voir la cérémonie. Des femmes de tous âges et des enfants sont serrés les uns contre les autres, attendant en papotant l'entrée de ces hommes impressionnants dans leurs grands manteaux noirs avec leurs hauts chapeaux de feutre. Les musiciens prennent place(dont le joueur de Ney, cette flûte traditionnelle, avec sa barbe noire bien garnie), puis les chanteurs. Entre ensuite le "prêtre" (j'avoue ne pas savoir comment on appelle cet homme qui dirige la cérémonie de sa puissante voix grave), le traditionnel chapeau de feutre beige rehaussé d'un généreux turban vert et la tunique noire bordée de galon doré.
Enfin les danseurs alignés, drapés eux aussi dans de grands manteaux noirs, se serrent les uns contre les autres lorsque la cérémonie commence. Puis ils forment un cercle et s'arrêtent chacun leur tour devant le maître de cérémonie, plusieurs fois. Au dernier passage, ils inclinent la tête de telle façon que le "prêtre" en se penchant légèrement en avant semble leur murmurer quelque chose à l'oreille.
Enfin les danseurs libèrent leurs traditionnelles robes blanches en retirant leurs draps noirs. Ils passent une dernière fois devant le maître et entament leur rotation mystique, entrant petit à petit dans une transe communicative, que la musique du chœur des chanteurs et des musiciens renforce, jusqu'à nous faire partir nous aussi très loin du quotidien.
Quand finalement ils regagnent leur place, alignement de robes blanches, la main posée sur le coeur, nous ne pouvons nous empêcher d'être prises dans la ferveur générale. Et les paumes des mains tournées vers le ciel nous ponctuons nous aussi la litanie du maître par des "Hamin", sentant Dieu plus proche de nous, même sans avoir rien compris aux paroles.
Dans le dédales des rues du haut de Heykel (ça signifie la statue, c'est le quartier qui se trouve autour de l'incontournable statue d'Atatürk), nous trouvons sans problème le centre culturel qui accueille tous les soirs la cérémonie des derviches tourneurs. Avant d'entrer dans la salle au plafond peint d'arabesques et de calligraphie, nous profitons de l'hospitalité du lieu et buvons un thé dans la cour au milieu des autres femmes attablées pour discuter. A l'intérieur, quelques femmes font leur prière. Effectivement, nous avons entendu le muezzin en sortant de la voiture.
Lorsque, après avoir retiré nos chaussures, nous rejoignons à notre tour l'étage des femmes (les hommes restent en bas), une jeune fille nous fait de la place afin que nous soyons plein placées pour voir la cérémonie. Des femmes de tous âges et des enfants sont serrés les uns contre les autres, attendant en papotant l'entrée de ces hommes impressionnants dans leurs grands manteaux noirs avec leurs hauts chapeaux de feutre. Les musiciens prennent place(dont le joueur de Ney, cette flûte traditionnelle, avec sa barbe noire bien garnie), puis les chanteurs. Entre ensuite le "prêtre" (j'avoue ne pas savoir comment on appelle cet homme qui dirige la cérémonie de sa puissante voix grave), le traditionnel chapeau de feutre beige rehaussé d'un généreux turban vert et la tunique noire bordée de galon doré.
Enfin les danseurs alignés, drapés eux aussi dans de grands manteaux noirs, se serrent les uns contre les autres lorsque la cérémonie commence. Puis ils forment un cercle et s'arrêtent chacun leur tour devant le maître de cérémonie, plusieurs fois. Au dernier passage, ils inclinent la tête de telle façon que le "prêtre" en se penchant légèrement en avant semble leur murmurer quelque chose à l'oreille.
Enfin les danseurs libèrent leurs traditionnelles robes blanches en retirant leurs draps noirs. Ils passent une dernière fois devant le maître et entament leur rotation mystique, entrant petit à petit dans une transe communicative, que la musique du chœur des chanteurs et des musiciens renforce, jusqu'à nous faire partir nous aussi très loin du quotidien.
Quand finalement ils regagnent leur place, alignement de robes blanches, la main posée sur le coeur, nous ne pouvons nous empêcher d'être prises dans la ferveur générale. Et les paumes des mains tournées vers le ciel nous ponctuons nous aussi la litanie du maître par des "Hamin", sentant Dieu plus proche de nous, même sans avoir rien compris aux paroles.
Mail to Blogger
Toujours sans accès simple à mon blog, j'essaye l'option d'envoyer des messages par mail. Le seul hic ? Je ne peux pas y joindre de photo... Mais ce serait déjà pas mal si je peux poster par mail un simple billet.
Résultat : c'est pas la bonne police ni la bonne taille de caractères... il vous sera impossible de louper les billets envoyés par ce système. Pas convaincue :-(
mercredi 16 septembre 2009
Quand du bazar naît la tranquilité
Hier matin je me suis assise pour boire un thé au Koza Han, le bazar de la soie. Dans la cour de ce vieux caravansérail je suis restée un moment seule à regarder la vie calme d’une fin de matinée humide en plein Ramadan. Le serveur a mis longtemps à me voir. J’ai finalement pris le parti d’en profiter pour observer les gens. En face de moi trois jeunes filles boivent du café turc en fumant et discutant comme si l’avenir du monde dépendait de leur conversation de ce jour. Lorsque le vendeur de billets de loterie passe, elles prennent des coupons qu’elles grattent frénétiquement, les échangeant avec de nouveaux tant que le montant des gains le permet, puis finalement rien. Le vendeur impassible, un homme sec à la barbe blanche de trois jours et un léger sourire aux coins des lèvres, propose ses billets, déchire les anciens, sans fracas, sans tracas avec fatalité.
Peu après une vieille femme aux vêtements noirs animés de fleurs colorées, les rides creusant son visage, le poids des ans sur les épaules, passe vendre des roses à l’unité au milieu des tables. Puis c’est un vendeur de lunettes qui précède le simitci portant son plateau chargé des incontournables couronnes au sésame sur l’épaule. Là-bas, de l’autre côté de la fontaine, le menton appuyé dans sa main, le cireur de chaussures se balance sur son petit tabouret. Bientôt arrivera l’heure de la prière et au son du muezzin les hommes monteront les marches de la salle de prière, petit édifice en pierre surmontant la fontaine en marbre centrale nécessaire aux abblutions.
Mais j’arrive à la fin de mon thé et du morceau de papier que j’ai sorti tout froissé du fond de mon sac pour y coucher ces quelques mots avant qu’ils ne s’envolent, ou ne s’évaporent dans la douce tranquilité du Han. Il est temps que je rentre.
Peu après une vieille femme aux vêtements noirs animés de fleurs colorées, les rides creusant son visage, le poids des ans sur les épaules, passe vendre des roses à l’unité au milieu des tables. Puis c’est un vendeur de lunettes qui précède le simitci portant son plateau chargé des incontournables couronnes au sésame sur l’épaule. Là-bas, de l’autre côté de la fontaine, le menton appuyé dans sa main, le cireur de chaussures se balance sur son petit tabouret. Bientôt arrivera l’heure de la prière et au son du muezzin les hommes monteront les marches de la salle de prière, petit édifice en pierre surmontant la fontaine en marbre centrale nécessaire aux abblutions.
Mais j’arrive à la fin de mon thé et du morceau de papier que j’ai sorti tout froissé du fond de mon sac pour y coucher ces quelques mots avant qu’ils ne s’envolent, ou ne s’évaporent dans la douce tranquilité du Han. Il est temps que je rentre.
Premier atelier de Noël
Je sais, nous sommes encore en été et je vous parle déjà de Noël. C'est que BIWA (Bursa International Women Association) veut tenir un stand au marché de Noël qui se déroulera le 24 novembre à Istanbul. Du coup faut produire des objets à vendre (ne serait-ce que pour payer le prix du stand!). Et c'est bibi qui s'est follement portée volontaire pour organiser cela.
Donc les prochains mois, tous les lundis aura lieu dans ma maison un atelier de Noël auquel les membres de BIWA sont invitées à participer pour créer un max de trucs. Le premier atelier a eu lieu cette semaine. C'était pas la foule mais c'était très sympa. Nous avons fait des étoiles filantes à suspendre dans le sapin.
Bon moi après ça, et avec mes problèmes de sommeil persistants, il me faut la journée complète du lendemain pour récupérer. Du coup, j'ai zappé ma rentrée au cours de peinture et suis allée me balader tranquillement en solitaire dans le bazar avant de passer le reste de ma journée d'hier à me motiver pour "m'y mettre" (envie de faire tellement de choses...).
Sevgi et Elizabeth en pleine action.
Les fameuses étoiles filantes.
Donc les prochains mois, tous les lundis aura lieu dans ma maison un atelier de Noël auquel les membres de BIWA sont invitées à participer pour créer un max de trucs. Le premier atelier a eu lieu cette semaine. C'était pas la foule mais c'était très sympa. Nous avons fait des étoiles filantes à suspendre dans le sapin.
Bon moi après ça, et avec mes problèmes de sommeil persistants, il me faut la journée complète du lendemain pour récupérer. Du coup, j'ai zappé ma rentrée au cours de peinture et suis allée me balader tranquillement en solitaire dans le bazar avant de passer le reste de ma journée d'hier à me motiver pour "m'y mettre" (envie de faire tellement de choses...).
Sevgi et Elizabeth en pleine action.
Les fameuses étoiles filantes.
En manque de blog !
Je viens de vivre ces derniers jours sans pouvoir accéder à mon blog ! Lundi soir j'ai cru à un problème passager mais mardi, toujours aucune possibilité d'accéder à ma Cafetière. Mon homme hyper occupé au boulot, impossible imaginer trouver une solution rapidement. Hier soir quand même vers 23h, une fois rentré, il en a trouvé une. C'est un peu tordu mais ça fonctionne.
C'est que, comment vous dire, il n'y a rien de logique dans mon non-accès à blogspot. Impossible depuis n'importe quel ordi de la maison, mais Olivier n'avait aucun problème pour y accéder depuis son Blackberry (Turkcell) ou son Iphone (Avea). Qu'à cela ne tienne, il a mis une carte 3G Avea dans mon petit portable. Et ben non, là ça ne marchait plus...
Enfin voilà, j'y suis, je le mets à jour et on verra bien pour la suite.
C'est que, comment vous dire, il n'y a rien de logique dans mon non-accès à blogspot. Impossible depuis n'importe quel ordi de la maison, mais Olivier n'avait aucun problème pour y accéder depuis son Blackberry (Turkcell) ou son Iphone (Avea). Qu'à cela ne tienne, il a mis une carte 3G Avea dans mon petit portable. Et ben non, là ça ne marchait plus...
Enfin voilà, j'y suis, je le mets à jour et on verra bien pour la suite.
dimanche 13 septembre 2009
La cafetière a un an !
J'ai failli louper la date, mais la Cafetière Turque a eu un an hier ! Elle a pris son rythme, avec ses pics et ses moments creux mais finalement elle tient bien la route. Et surtout vous êtes de plus en plus nombreux à la suivre alors merci !
Le loto des louloutes
Hier, journée amicale. Partie le matin me balader avec Guillemette, nous avions invité Nadia et Badim à venir goûter à la maison avec leur fille Julia. Clélia et se petite famille nous ont également rejoins et j'ai fini l'après-midi en faisant un loto-photo avec toutes les louloutes. Léonard quant à lui adore jouer avec Siyah, qui le lui rend bien. Décidément les goûters du samedi après-midi sont quelques chose à renouveler !
samedi 12 septembre 2009
Coccinelle de pluie
Les orages et la pluie ont ponctué notre semaine. Alors hier Eglantine et moi sommes allées acheter un imperméable pour l'occasion. Dans le style coccinelle, il est vraiment très chouette (assorti à ses bottes rouges) et ce matin Eglantine était ravie de le mettre pour prendre la pose face à l'objectif que je pointais sur elle. Admirez le style !
jeudi 10 septembre 2009
Nouvelle coupe
Après l'école aujourd'hui, j'ai amenée Eglantine chez le coiffeur. Elle était très sérieuse, toute petite sur son tas de journaux pour atteindre le bac où on lui lavait les cheveux. Ensuite elle n'a pas bougé d'un poil (c'est le cas de le dire) pendant que le coiffeur retirait quelques centimètres de longueur. Ses grands yeux n'ont pas quitté une seconde son reflet dans le miroir. Quand enfin ça a été fini, elle a explosé de joie, se mirant sous toutes les faces en passant la main dans ses cheveux.
Bon, pour son père c'est jamais assez long. En même temps c'est jamais lui qui fait les couettes ! ;-)
Bon, pour son père c'est jamais assez long. En même temps c'est jamais lui qui fait les couettes ! ;-)
Au sec
Même les médias français en parlent alors c'est vous dire si c'est grave. Istanbul noyée sous les flots, plus de trente morts (info sur Yahoo Actualités). Alors voici un message pour rassurer les lecteurs de ce blog. S'il était prévu que la tempête arrive sur Bursa dans la matinée d'hier, il semble qu'elle se soit calmée en traversant la mer de Marmara (ou alors elle est passée ailleurs, je ne sais pas) et nous avons eu une journée tranquille, voire ensoleillée l'après-midi.
Bon, ils annoncent de la pluie et des orages pour encore toute la fin de semaine. On croise les doigts. Mais pour l'instant tout va bien (si ce n'est que je ne dors toujours pas).
Bon, ils annoncent de la pluie et des orages pour encore toute la fin de semaine. On croise les doigts. Mais pour l'instant tout va bien (si ce n'est que je ne dors toujours pas).
mercredi 9 septembre 2009
Sweet home peinture
Aujourd'hui pas d'école pour Eglantine. Plus de sieste et l'école qui termine une heure plus tard, nous avons décidé qu'elle restera se reposer à la maison en milieu de semaine. Aucun regret, hier quand elle est rentrée de l'école, Eglantine était de bonne humeur mais franchement fatiguée. D'ailleurs ce matin, elle a dormi jusqu'à 9h !
Le temps de manger ses céréales et Clélia est arrivée avec sa maman et son petit frère pour faire de la peinture avec Eglantine. Bien équipées de tabliers, chacune son tableau et sa feuille de papier, les louloutes ont joué avec les couleurs. Du bout des doigts pour Titi alors que Clélia a préféré mettre franchement la main à la pâte.
mardi 8 septembre 2009
Chlorophylle
Dans un coin de notre terrasse, trois pots plein de terre mais sans plantes nous servent de décoration. Dans l'un deux, parce que la nature prend toujours le dessus, une plante, certains diraient mauvaise, donne un peu de verdure. Eglantine a beaucoup aimé voir pousser cette plante tout l'été. Et elle voulait en mettre dans les autres pots. Alors nous sommes allées acheter un petit buisson après la sortie de l'école cet après-midi. Et nous espérons bien le voir grandir petit à petit. En attendant de le planter, Eglantine le tenait dans ses bras comme la plus belle de ses poupées. Elle voulait même le faire dormir dans sa chambre ce soir... ;-)
lundi 7 septembre 2009
Message pour mon homme
2003. Année de canicule, été affolant en planant. Derniers voyages en carte 12-25, tour de France en train, sans clim et sans eau. Folies niçoises avec Sandy, plage et cocooning landais-basque, ma maman qui se ronge les sangs. L’impression de voir la vie en dehors de moi. Et puis le 1er septembre un mail. Rencontre Meetic et foudroyante. Franck136 et Ciboolette, improbable sans internet. Ambiance mojito, baiser volé. Bouquet de roses et de piments, sac de pharmacie transparent. Bien sûr tout n’est pas simple, mais finalement tout s’emballe. Portugal, Eglantine et mariage. Puis la Turquie nous sourit. Six ans déjà ? Maintenant nous sommes trois, bientôt quatre. Notre famille s’est construite, pleine de vie. Évidemment on ne sait jamais, demain c’est vaste. Mais moi j’y crois. Si tu m’énerves, que je t’agace, tu me rassures, moi je t’avive, tu m’impressionnes, j'te fais sourire. Et puis je t’aime, c’est tout. Bon anniversaire !
Première journée d'école
Ca y est, Eglantine a repris l'école ce matin ! Elle était tout excitée à l'idée de retrouver ses amis. Elle voulait absolument mettre son nouveau sac sur son dos, mais avec tous les livres dedans, il était vraiment bien lourd. Alors c'est moi qui l'ai porté. Nous sommes arrivées à l'école en chantant et au moment de la laisser dans sa classe c'est finalement pour moi que ça a été le plus dur. Je suis bien contente de retrouver des journées libres mais quand même, mon p'tit bébé... faudrait pas qu'elle soit triste, on sait jamais, loin de moi, qui lui fera un câlin si elle a un chagrin. Je sais, c'est bête ! Mais c'est comme ça, le pincement, c'est pour mon coeur.
Je suis un peu restée pour la cérémonie de rentrée des classes. Tous les enfants étaient réunis dans le gymnase, tout le monde en uniforme, les profs en noir, les grands debout et les maternelles bien assis sur des coussins, les parents dans les gradins. La cérémonie dure deux heures, mais les petits ne restent pas. Perso je suis partie après l'hymne national parce que je ne comprenais rien et qu'assise dans les gradins je ne pouvais pas voir ma louloute tout en bas sur son coussin. Je suis partie faire la course aux fournitures et reste toujours en manque d'un cahier à spirales de 150 pages avec des feuilles blanches. J'ai quand même fait trois supermarchés !
Ci-dessous quelques photos.
Au moment de partir, Eglantine était pleine de joie et d'énergie.
Les enfants partent de leur salle de classe vers le gymnase avec leur maîtresse Nuket. Et hop tout le monde dans le train !
Devant la salle de sport c'est un peu la bousculade mais notre petit train est un vrai tgv.
Sur les murs, des drapeaux géants aux couleurs de la Turquie et à l'effigie d'Atatürk.
Eglantine sur les coussins...
... alors qu'Aksel se tient bien droit avec les écoliers du primaire.
Je suis un peu restée pour la cérémonie de rentrée des classes. Tous les enfants étaient réunis dans le gymnase, tout le monde en uniforme, les profs en noir, les grands debout et les maternelles bien assis sur des coussins, les parents dans les gradins. La cérémonie dure deux heures, mais les petits ne restent pas. Perso je suis partie après l'hymne national parce que je ne comprenais rien et qu'assise dans les gradins je ne pouvais pas voir ma louloute tout en bas sur son coussin. Je suis partie faire la course aux fournitures et reste toujours en manque d'un cahier à spirales de 150 pages avec des feuilles blanches. J'ai quand même fait trois supermarchés !
Ci-dessous quelques photos.
Au moment de partir, Eglantine était pleine de joie et d'énergie.
Les enfants partent de leur salle de classe vers le gymnase avec leur maîtresse Nuket. Et hop tout le monde dans le train !
Devant la salle de sport c'est un peu la bousculade mais notre petit train est un vrai tgv.
Sur les murs, des drapeaux géants aux couleurs de la Turquie et à l'effigie d'Atatürk.
Eglantine sur les coussins...
... alors qu'Aksel se tient bien droit avec les écoliers du primaire.
Les mini Kaptan
D'après la météo nous profitions hier d'une dernière journée de beau temps avant une semaine de pluie. et c'est vrai que c'était une belle journée d'été. Nous en avons profité pour aller tous ensemble à la piscine de la résidence en fin de matinée. Nous y avons rencontré la nouvelle famille de Français arrivés il y a dix jours et dont la petite dernière, Elise, sera dans la même classe qu'Eglantine cette année.
Après la sieste, Eglantine a retrouvé Clélia à la piscine des propriétaires de Guillemette et Jean-Eudes. L'avantage c'est qu'on a pu y emmener le bateau gonflable. Gonflage gonflant tenant du défi qu'ont relevé Guillemette et Olivier ! Du coup fallait bien optimiser l'embarquation et les filles ont continué à jouer les Kaptan (pour qui n'a pas compris, c'est capitaine en turc!) dans le jardin, prenant les clubs de golf en plastique comme rames.
Petit apéro sympa chez nos nouveaux voisins pour finir cette journée chaleureuse, et zou Eglantine au dodo parce demain y a école !
dimanche 6 septembre 2009
Douce matinée
J'aime quand je me réveille tôt sans être fatiguée. Le soleil étale doucement sa lumière sur le jardin, Siyah me fait des câlins, personne dans la rue, la maison est calme. Au bout d'un moment, j'entends des petits pas dans l'escalier et voit apparaître la bouille encore endormie et les cheveux en désordre de ma petite chérie. Gros câlin sur le canapé, Eglantine aime être sur mon ventre qui s'arrondit.
Ensuite le rythme s'emballe et meme si rien ne déraille ces premières heures de la matinée sont pour moi les meilleures de la journée.
Ensuite le rythme s'emballe et meme si rien ne déraille ces premières heures de la matinée sont pour moi les meilleures de la journée.
samedi 5 septembre 2009
Journée bibous
Céline et sa petite soeur Elise (bientôt six mois), Mathias, Rose et leur petite soeur Elise (et oui, une autre, mais quatre ans elle), nouvelle camarade de classe d'Eglantine, Mélissa et Tim, Pierre et son petit frère Edgar (juste quelques semaines, si petit...), Clélia et Léonard, avec tous leurs parents, voilà qui a bien animé notre après-midi étant donné que nous avions organisé un goûter pour les enfants français à la maison. Un super moment tous ensemble !
Déjà ce matin, ils s'étaient presque tous retrouvés à l'école pour la pré-rentrée : börecks, saucisses, melon, etc. pour garnir les ventres des enfants de la maternelle et de primaire ainsi que leurs maîtresses (mais aussi les parents qui comme moi avaient bien prévu l'énorme buffet et avaient pris un petit dej léger). Eglantine garde sa chère maîtresse Nuket, qui regroupe dans sa classe quatre petits français, mais est maintenant dans la salle de classe jaune. Elle a bien noté ce changement mais était surtout ravie de retrouver tous ses amis pour la rentrée de lundi
Sur la photo : Tim, Céline et Eglantine.
Déjà ce matin, ils s'étaient presque tous retrouvés à l'école pour la pré-rentrée : börecks, saucisses, melon, etc. pour garnir les ventres des enfants de la maternelle et de primaire ainsi que leurs maîtresses (mais aussi les parents qui comme moi avaient bien prévu l'énorme buffet et avaient pris un petit dej léger). Eglantine garde sa chère maîtresse Nuket, qui regroupe dans sa classe quatre petits français, mais est maintenant dans la salle de classe jaune. Elle a bien noté ce changement mais était surtout ravie de retrouver tous ses amis pour la rentrée de lundi
Sur la photo : Tim, Céline et Eglantine.
mardi 1 septembre 2009
Clélia et Eglantine
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