Hortense dormait déjà quand les musiciens sont arrivés. Elle aurait certainement participé elle aussi aux jeux de la danse et de la musique. Eglantine et Clélia ont longtemps accompagné de leurs mélodies maladroites les musiciens. Loin de se laisser perturber, ils les ont encouragées. Elles étaient dans leur cercle, sérieuses comme si la musique dépendaient d’elles, échangeant des regards complices avec ces hommes qui les avaient admises parmi eux comme leurs égales.
Puis Clélia a laissé tomber sa flûte pour danser, à l’instar de Berke. Ouvrant les bras et enchaînant les pas de danse, ce petit bout d’homme turc nous a fait une belle démonstration du folklore turc, contemporain et vivant, fort des ses racines et de son entrain.
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