Je suis fascinée par la violence de la neige aujourd'hui. Poussée par le vent, elle semble venir de tous les côtés, tournoyant entre les immeubles, striant le ciel à la verticale, bouchant l'horizon et remontant du sol dans de soudaines bourrasques. La ville de nouveau est toute blanche. En cette nuit où le vent siffle dans les rues désertes, la neige réverbère les lumières urbaines et donne à mon jardin une dimension lunaire.
Au loin les sirènes se sont tues. La ville semble calmée. Elle dont le cœur à continué de battre, seulement un peu plus lentement, un peu engourdie par la neige. Les voitures roulaient, disciplinées et patientes, comme si les flocons avaient le don d'assagir les conducteurs, d'ordinaire si prompts à faire n'importe quoi. Même l'avion de Chantoune a atterri avec juste un peu de retard.
Au loin les sirènes se sont tues. La ville semble calmée. Elle dont le cœur à continué de battre, seulement un peu plus lentement, un peu engourdie par la neige. Les voitures roulaient, disciplinées et patientes, comme si les flocons avaient le don d'assagir les conducteurs, d'ordinaire si prompts à faire n'importe quoi. Même l'avion de Chantoune a atterri avec juste un peu de retard.
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