jeudi 20 août 2009

Vacances françaises

Trois jours déjà que nous sommes rentrés et déjà le temps file trop vite avec le vent qui rafraîchit le jardin. Bientôt trois semaines qu’Eglantine a tenu à visiter la grande dame parisienne, la Tour Eiffel. L’occasion pour son papa et Chantoune de monter enfin au troisième étage. Chose qu’en vrais Parisiens ils n’avaient encore jamais faite. Bien sûr au mois d’août il vaut mieux arriver tôt, et même comme ça il nous a fallu plus de deux heures pour arriver en haut et redescendre, sans s’éterniser. Mais entre-temps l’accès au troisième était fermé en raison de l’affluence et la file d’attente faisait un immense serpent entre les piliers. Eglantine a maintenant dans sa collection de jouets une petite Tour Eiffel rose fifille. Ca manquait ;-)

Les quelques jours dans la capitale nous ont permis de faire connaissance avec la toute jolie cousine d’Eglantine, Mélissa. L’occasion aussi de fêter les 40 ans d’Olivier avec ses frères et sœur (Elise était spécialement venue d’Autriche). Chantal avait sorti de si bons vins que j’avoue en voir fait goûter quelques gouttes à Microbelle.

Rapide passage à Tours où nous avons raté Mamité qui était à l’hôpital pour cause de bras cassé, puis petit séjour près de Sainte Foix chez François et sa Baronne. Eglantine a manqué se noyer dans la piscine mais je veillais. Et elle a adoré jouer avec Capucine, 9 ans, qui s’est beaucoup occupée d’elle, à mon plus grand plaisir. Merci encore à la Baronne pour mon assiette de foie gras !

Nous sommes ensuite restés tranquilles chez Grand-Mère où Olivier a pu jouer au golf tous les jours et nous nous sommes même fait un bon restau alors que Grand-Mère a gardé notre petite fleur. Eglantine a retrouvé tous ses jouets et trouvait que sa grand-mère mettait parfois du temps à tout lui sortir… Mais elle a particulièrement aimé le petit vélo acheté d’occase, avec des supers freins (pas le cas de celui de la maison). Son visage n’était plus qu’un grand sourire quand elle descendait l’allée de Grand-Mère. Quant à nous, nous ne pouvions pas nous empêcher de rire en la voyant mettre les deux pieds en l’air quand elle freinait !

En rentrant sur Paris, arrêt minute à Tours pour enfin passer quelques heures avec Mamité, le bras dans le plâtre, mais souriante et alerte à l’ombre de son jardin. Juste une dernière journée pour organiser les bagages (et notre traditionnel surpoids) et voir les derniers amis (encore merci Chantal pour le dîner !), et ce fût le retour, toujours aussi long et fatiguant.

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