Une tourista ? Comment peut-on avoir une tourista en Turquie quand on y vit depuis plus de deux ans. J'ai envie de lui dire que je ne suis pas une touriste à cette maladie qui me tord les viscères depuis quatre jours et qui m'a valu une journée à l'hôpital sous perfusion charcuteuse de bras et toutes ces journées sans m'approcher de mes chéries. Heureusement que Chantoune était là pour s'en occuper. Et remarquez que pour les nuits, Hortense ne m'a pas beaucoup manqué (que les mauvais esprits ne se méprennent pas, j'adore la regarder dormir, c'est quand elle a faim au milieu de la nuit que j'ai du mal).
En plus je suis partie avec juste la poussette-canne car j'espérais avoir ma superbe nouvelle futuriste poussette Stokke qui n'est pas arrivée. Enfin si, le rembourrage et la nacelle. Manque juste le siège et... les roues. C'est dommage, c'est pratique des roues pour une poussette. Merci la poste qu'a pas réussi à livrer le même jour trois colis partis en même temps. Mais nous sommes imaginatifs quand le besoin s'en fait sentir. Et le rembourrage a servi à caler Hortense dans la Maclaren. Et Hortense sur roulettes, ça facilite beaucoup la vie.
Et puis il a fait beau, j'ai même pris des coups de soleil et j'ai la trace du noeud de mon maillot dans le dos. En plus nous avons rencontré des familles sympa, les Talon (sans Achille), dont les filles se sont bien occupées d'Eglantine, et une famille greco-hispano-belge dont le petit garçon avait le même âge qu'Eglantine. Notre louloute ramènerait bien ce petit Mathias comme souvenir de vacances.
Et puis Olivier a finalement pu venir. D'où la photo. Nous quatre. J'aime bien. Et puis y en n'a pas souvent alors faut les savourer!
Et puis... rien. C'était juste pour en mettre un dernier, et puis c'est tout :-)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire