Partir de Bursa dans un belle voiture qui brille sous le soleil. Quitter Istanbul sous la pluie. Retrouver le froid de Bucarest cet automne. Ouvrir la porte de la maison. Se laisser étouffer par des milliers de bisous et des câlins serrés contre le cœur.
Si les filles ont très bien vécu mon absence (et celle de leur père qui, lui, ne rentre que demain), elles m'ont montré combien elles étaient heureuses de mon retour par de généreuses marques d'affection. À fondre !
Envoyé de mon iPad
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