L'ouverture du
festival Enescu le 1er septembre avec le Staatkapelle Berlin dirigé par Daniel Barenboim nous avait enchantés, particulièrement le Concerto n°4 de Beethoven interprété par le pianiste Radu Lupu.
Le ballet contemporain de la compagnie Vortice Dance, Soliloquy about wonderland, nous a littéralement subjugués pendant une heure, trop courte, où les corps et les rêves se mélangent, ou l'amour et la folie se côtoient, où l'humanité devient palpable dans les vapeurs de la danse.
C'était ce soir à l'Opéra de Bucarest. Une parenthèse magique.
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