Un gros chat costaud, vif et futé menace nos chats depuis longtemps maintenant puisque c'est lui qui a tué Voyelle. Aujourd'hui enfin j'ai réussi à l'amadouer et à l'enfermer dans la cuisine. Il a tout renversé et fait des bonds jusqu'en haut de la porte pour essayer de l'ouvrir. C'était très impressionnant. Je ne savais pas comment nous allions l'attraper, mais au moins il était bloqué.
Je me suis rendue chez la vétérinaire avec Eglantine. Elle nous a donné un somnifère à mélanger à une boîte de pâtée pour chat. Je suis rentrée avec mon arme fatale et une nouvelle boule de poil. Elle doit avoir environ trois-quatre mois et a été lâchement abandonnée devant le cabinet vétérinaire. Elle n'a pas l'habitude de vivre dehors et a énormément besoin de compagnie. La véto ayant déjà trop de chats, elle était en train de la remettre dehors quand j'y suis allée. J'ai craqué sur la chatte. Nous l'avons appelée Chance. Elle ronronne constamment. Eglantine et moi l'adorons. Olivier n'en veux pas. Si nous trouvons quelqu'un d'intéressé, je la donnerai. Si si. Mais je ne peux pas me résoudre à la remettre dans la rue.
En attendant elle dort dans les toilettes et Olivier est parti déposer le Tueur, à peine groggy par les somnifères, dans un village loin d'ici.
2 commentaires:
j'ai été passionnée par le feuilleton : tu pourrais en faire un vrai roman ! Je veux savoir à combien de km est le village actuel du tueur... et comment s'est passé le voyage et le dépôt.
Quelle aventure ! :-)
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