Le soleil joue avec le vert des premières feuilles. Les fleurs d'un immense magnolia abritent le vol malicieux des oiseaux. Les tables sont sorties sur les terrasses. Les parasols sont ouverts. Les couleurs décrépies des bâtisses en ruines du quartier Lipscani mettent en relief les rues fraîchement rénovées. Comme une ville en reconstruction, et dont l'âme s'accroche à ces bouts de murs qui racontent les histoires de ce vieux quartier. Entre les cafés branchés et les boutiques à la mode, on trouve encore un marchand de blouses fleuries et de couvre-chefs d'un autre temps. Détachée de cette agitation commerciale, la petite église Stavopoleos est un havre de paix, toute de pierres sculptées et de verdure.
Chez les antiquaires nous imaginons les intérieurs bourgeois d'une Roumanie passée. Encore ce soir à la salle des ventes, nous plongeons dans le beau de l'Art Déco ou les peintures de Pallady. La Roumanie qui se construit aujourd'hui a définitivement de quoi puiser dans son passé pour se réinventer sans s'oublier.
Chez les antiquaires nous imaginons les intérieurs bourgeois d'une Roumanie passée. Encore ce soir à la salle des ventes, nous plongeons dans le beau de l'Art Déco ou les peintures de Pallady. La Roumanie qui se construit aujourd'hui a définitivement de quoi puiser dans son passé pour se réinventer sans s'oublier.
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